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Saint GILBERT DE SEMPRINGHAM

Saint Gilbert de Sempringham

Fondateur de l'ordre des Gilbertins (✝ 1189)


Il est né à Sempringham dans le Lincolnshire, et, après une éducation cléricale, a été ordonné prêtre par l’évêque de Lincoln. Pendant un certain temps, il a enseigné à une école libre, en antyant les jeunes dans des exercices réguliers de piété et d’apprentissage. L’advowson des parsonages de Sempringham et tirington étant le droit de son père, il a été présenté par lui à ces vivants unis, en 1123. Il en donna tous les revenus aux pauvres, à l’exception d’une petite somme pour les necessaries nus, qu’il réserva des premiers vivants. Par son café, ses paroissiens semblaient mener la vie des religieux, et étaient connus pour être de son troupeau, par leur conversation, où qu’ils aillent. Il a donné une règle à sept saintes vierges. qui vivait dans une enceinte stricte dans une maison attenante au mur de son église paroissiale de Saint-André à Sempringham, et une autre par la suite à une communauté d’hommes, qui désiraient vivre sous sa direction. Ce dernier a été tiré de la règle des habitués canon; ornière qui a donné à ses religieuses, de Saint-Bennet: mais à la fois il a ajouté de nombreuses constitutions particulières. Telle est l’origine de l’Ordre des Gilbertins, dont il obtient l’approbation du pape Eugénie III. Enfin, il entra lui-même dans l’Ordre, mais démissionna du gouvernement quelque temps avant sa mort, quand il perdit la vue. Son régime alimentaire était principalement des racines et le pouls, et si économe, que d’autres se demandaient comment il pouvait subsist. Il avait toujours à table un plat qu’il appelait, L’assiette du Seigneur Jésus, dans lequel il mettait tout ce qui était le mieux de ce qui était servi ; et c’était pour les pauvres. Il portait toujours une chemise à cheveux, prenait son court repos assis, et passait une grande partie de la nuit dans la prière. En cela, son exercice préféré, son âme a trouvé ces ailes sur lesquelles elle a continuellement grimpé vers Dieu. Pendant l’exil de saint Thomas de Canterbury, lui et les autres supérieurs de son Ordre furent accusés de lui avoir envoyé des secours à l’étranger. L’accusation était fausse; pourtant, le saint choisit plutôt de subir l’emprisonnement. et le danger de la suppression de son Ordre, que de le nier, de peur qu’il ne semble condamner ce qui aurait été bon et juste. Il partit pour notre Seigneur le 3 février 1190, étant vieux de cent six ans. Les miracles accomplis sur sa tombe furent examinés et approuvés par Hubert, archevêque de Canterbury, et les commissaires du pape Innocent III. En 1201, et il a été canonisé par ce pape l’année suivante.

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